FFDSB/ décembre 12, 2020/ Actualités, En page d'accueil, Nationale/ 0 comments

Pour garantir la sécurité des malades, 3 étapes sont essentielles : sélectionner les candidats rigoureusement, tester les dons, et prendre en charge les dons comme il se doit.

Déceler tout risque de contact avec un agent infectieux : voilà le but du questionnaire administré pendant l’entretien pré-don. Souvent, le volontaire au don ne connaît pas avec exactitude les conséquences médicales de son état de santé, son mode de vie, ou sa sexualité. Le professionnel de santé fait alors le lien avec la probabilité des risques, et ne laisse pas de place au doute.

Ainsi, le donneur a la responsabilité d’être transparent dans ses réponses, et le personnel médical, d’être exhaustif.

L’EFS teste chaque don de sang (VIH, hépatite C, hépatite B, etc.). Cela étant, plusieurs mois peuvent s’écouler entre une contamination et le moment où le virus est détectable. Il s’agit de la « période silencieuse » durant laquelle le virus est contaminant mais indétecté. C’est pourquoi il ne faut toujours respecter les délais imposés en termes de contre-indications. Donner son sang dans l’intervalle permettrait au virus de passer inaperçu durant les tests, et contaminerait les receveurs.

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